Protéger la forêt, c’est CSN

La CSN est plus ambitieuse dans ses demandes salariales pour la prochaine négociation, elle est plus près des régions et ses services sont tous inclus dans la cotisation. En plus, l’autonomie syndicale est plus grande à la CSN. Cela permet d’avoir le contrôle complet sur sa négociation, sur ses finances, sur ses griefs et sur le choix d’une centrale syndicale qui demeure possible en tout temps. La CSN est votre meilleure option.

Unifor ne possède aucun de ces avantages.

Voyez plus bas, les sept meilleures raisons de rester avec la CSN :

1. Des demandes salariales plus ambitieuses à la CSN

Selon la consultation et les travaux comparatifs menés par la CSN (progression du salaire minimum et pompiers municipaux), la prochaine demande salariale devrait osciller autour de 23 % d’augmentation, comme rattrapage, dès la première année. En comparaison, l’enlignement récent chez Unifor était de 10 % de rattrapage. 

À la CSN, on pense qu’il faut donner un coup de barre pour reconnaître l’expertise et le rôle essentiel de protection des forêts. L’inflation actuelle vient renforcer la nécessité de ce rattrapage important. Bien entendu, la négociation n’est pas commencée, mais sans demandes ambitieuses, il vous sera impossible de réaliser des gains à la hauteur de ce que vous méritez. Avec la CSN, vous vous offrez la possibilité de dépasser 34 $ l’heure en 2023 et probablement davantage à la fin de la prochaine convention.

2. La CSN veut protéger les forêts

La FIM–CSN et la CSN luttent actuellement pour mieux protéger la forêt publique du Québec afin d’éviter de se retrouver en rupture d’approvisionnement des usines en raison de forêts trop exploitées, où les peuplements plus denses et de qualité auront été écrémés par l’industrie. Afin de conserver des forêts de qualité pour l’avenir, le travail des syndiqué-es de la SOPFEU sera encore plus primordial, surtout dans un contexte de réchauffement climatique et d’augmentation des feux.

D’autres syndicats se moulent plutôt aux demandes de l’industrie et veulent continuer l’exploitation forestière comme avant, ou même l’augmenter. Dans un tel contexte, il y aurait moins d’ouvrage pour la SOPFEU, puisqu’il y aurait moins de boisés de qualité à protéger.

3. La CSN, plus proche des régions

La CSN offre des services aux membres de la SOPFEU syndiqués à la CSN dans chacune des régions du Québec où ils se trouvent. Cette structure leur donne accès à toute une panoplie de services qui sont octroyés par des conseillères et des conseillers chevronnés, dont :

  • Les services d’un conseiller syndical qui est basé dans leur région ;
  • L’appui ponctuel d’un conseiller à la mobilisation et à la vie régionale en temps de négociation.


En comparaison, les sections locales d’Unifor sont situées à Brossard ou à Montréal ; les services offerts aux membres d’UNIFOR sont donc plus centralisés et par le fait même, plus éloignés.

Adhérer à la CSN en ligne

Pour adhérer à la CSN et joindre la FIM–CSN c’est tout simple. Vous n’avez qu’à faire une sélection parmis ces choix, cliquer sur le bouton et remplir le formulaire sur la page suivante.

Sopfeu Form

Pour toutes questions les demandes de rencontre contactez :
Guillaume Wilson Patry, conseiller à la syndicalisation de la CSN, Guillaume.wilsonpatry@csn.qc.ca, 418-549-6346

4. CSN : plus de services, pas de frais supplémentaires

Grâce à leur crédibilité en négociation et à leur capacité de mobilisation, nos syndicats ont su répondre aux préoccupations locales des membres sur plusieurs sujets : mesures d’aménagement du temps de travail, formation, flexibilité des horaires, affectations, octroi de poste, congés, etc.

Par exemple, le syndicat FP–CSN de Sainte-Justine a renégocié sa convention collective locale qui a été adoptée à 98 % ! Il s’agit du seul syndicat de la catégorie 4 d’un établissement non fusionné à avoir renégocié les 26 matières locales. De son côté, le syndicat FP–CSN du CIUSSS de la Capitale-Nationale a mobilisé plus de 1 000 membres lors d’un grand rassemblement qui a contribué à l’obtention d’une nouvelle convention locale des plus satisfaisantes. Aucun syndicat APTS n’a pu en faire autant.

5. Des salaires égaux dans toute la SOPFEU

Les six conventions collectives de la SOPFEU sont toutes très similaires en ce qui a trait aux salaires, aux horaires, aux vacances et aux heures supplémentaires. Du point de vue financier, il n’y a donc pas de raison de changer de syndicat. En restant à la CSN, vous vous assurez d’une meilleure perspective d’augmentation de salaire. En effet, Unifor possède un historique pour s’entendre rapidement avec l’employeur, ce qui tire malheureusement les conditions de travail vers le bas.

6. Plus d’autonomie à la CSN

Les syndicats CSN sont pleinement autonomes. Ce sont eux qui décident de leur cotisation et de la gestion de leur caisse locale, sans permission à demander. Ce sont également eux qui décident de faire la grève ou non. Selon les statuts d’Unifor, il faut l’accord du président de l’organisation qui le transmet ensuite au directeur québécois pour pouvoir faire la grève. À la CSN, l’autonomie s’applique aussi en matière de gestion des griefs.

7. Une retraite un peu plus flexible à la CSN

Les syndicats CSN de la SOPFEU ont un régime de retraite auquel l’employeur cotise à 6,5 % et les employé-es à 5,5 %. Les syndicats SOPFEU d’Unifor ont la même contribution patronale, mais exigent 6,5 % des employé-es. La différence n’est pas énorme, mais le régime CSN laisse plus d’argent aux membres qui peuvent ensuite décider de le placer dans un REER. Il devient alors plus facile d’utiliser cet argent pour l’achat d’une maison.

La prochaine ronde de négociation portera notamment sur l’amélioration du régime de retraite CSN afin d’obtenir un régime de type carrière indexé avec crédit de rente (RRPC). Avec un salaire de 40 000 $ avant la retraite, ce régime permettrait une rente de 15 000 $ après 30 ans, en incluant une réserve de stabilisation de 20 %.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. Elle est composée de près de 1 600 syndicats et regroupe plus de 325 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle, incluant la FP–CSN.

Pour toutes questions les demandes de rencontre contactez :
Guillaume Wilson Patry, conseiller à la syndicalisation de la CSN, Guillaume.wilsonpatry@csn.qc.ca, 418-549-6346